Depuis son atelier Parisien, Anaïs travaille à donner vie au papier. Elle modèle le papier-mâché, découpe le papier coloré, doré, ou aérographé, et colle un à un pétales et écailles. Chez elle, les renards ont 8 pattes, les pangolins ont 6 yeux, et même les fleurs ont des yeux. Monstres, décors et objets prennent vie petit à petit. Cet univers magique s’anime en stop motion ou se fixe par la photographie.
Avant de devenir la docteure Frankenstein du papier, Anaïs était directrice artistique en agence de pub. C’est depuis quelques années qu’elle réalise du brand content, du set design, des vitrines, des illustrations, des livres objets, tout ça en papier bien évidemment.